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Qui peut devancer Toronto ? Certainement pas l’Impact !

Posted on 2 March 2018

 Impact de Montréal
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La saison de MLS commence ce samedi, et évidemment les observateurs de tous bords se sont livrés au jeu des pronostics. Nous avons fait le tour de ceux qui couvrent la MLS à grande échelle et se sont mouillés, pour compiler leurs classements et leurs avis. Voilà ce que ça donne, avec une remarque optimiste et une remarque pessimiste tirée de leurs commentaires pour chacun des clubs.

1. Toronto

Une raison d’y croire : Un seul titulaire est parti (Beitashour) et en plus il a été souvent absent l’an dernier, alors que plusieurs renforts de choix sont arrivés, comme Van der Wiel ou Aketxe.
Une inquiétude : Euh… ne pas finir premier ? Toronto est archi-favori pour quasiment tout le monde. Mais si Greg Vanney fait tourner son effectif pour garder les meilleurs en forme pour les échéances importantes, la deuxième place n’est pas à exclure…

2. Atlanta

Une raison d’y croire : Après avoir dépassé les attentes lors de sa première saison, l’équipe place la barre encore plus haut comme le prouve le transfert record de Barco.
Une inquiétude : Carmona, Asad et même Mears avaient été très efficaces l’an dernier, les nouveaux ont une belle feuille de route mais rien ne garantit qu’ils combleront à la fois ces départs et les aspects à améliorer.

3. Seattle

Une raison d’y croire : Même avec des blessés ou des joueurs qui n’atteignaient pas leur meilleur niveau, Seattle a été bien classé l’an dernier. Il y a donc à la fois qualité et relève dans ce club dont la direction sportive est souvent très inspirée au moment de transférer.
Une inquiétude : Morris est blessé, l’incroyablement efficace arrière gauche Jones est parti, et l’équipe est bourrée de trentenaires comme Marshall, Torres, Dempsey ou Alonso. Rattraper un début de saison pénible serait plus difficile cette saison.

4. New York City

Une raison d’y croire : Des renforts dans toutes les lignes, un milieu axial parmi les meilleurs du championnat, et David Villa avide d’un trophée pour ce qui sera peut-être sa dernière saison.
Une inquiétude : White et Harrison formaient un très bon flanc droit : ils sont partis, et même si on leur a trouvé de bons remplaçants, a-t-on vraiment amélioré les réels points faibles de 2017 ?

5. Portland

Une raison d’y croire : Savarese n’a rien à envier à Porter comme entraîneur, seul Nagbe est parti chez les titulaires du mieux classé de la conférence Ouest en 2017, le banc a été amélioré et le club a transféré de joueurs de talent et des jeunes.
Une inquiétude : Valeri, Chara et Ridgewell sont trois joueurs clefs de cette équipe, et des trentenaires avancés. Si un seul d’entre eux devait faire défaut, ça pourrait beaucoup se compliquer.

6. New York

Une raison d’y croire : Devant Robles, gardien solide, l’épine dorsale de l’équipe peut la porter dans le premier tiers du classement voire plus haut.
Une inquiétude : Kljestan, roi des passes décisives du club depuis trois ans, est parti ; Felipe aussi, il faut remodeler l’entrejeu, alors que la défense doit aussi encore prendre ses marques.

7. Salt Lake

Une raison d’y croire : Aucun départ important, hormis celui de Wingert, véritable passoire sur le flanc gauche, et des arrivées ciblées comme Ortuño et Kreilach qui combleront des faiblesses et conviennent au style de Mike Petke qui peut enfin mettre l’équipe à sa main. Tout pour progresser par rapport à une fin d’année 2017 déjà très encourageante.
Une inquiétude : Une équipe qui mise énormément sur la jeunesse autour de quelques vétérans de plus en plus âgés, et qui pourrait ne pas tenir la route si Ortuño ne répond pas aux attentes.

8. Columbus

Une raison d’y croire : Avec les arrivées de Valenzuela, Grella et Sosa ainsi quelques repositionnements, la refonte du flanc gauche est assurée malgré le départ de Meram. Et Zardes a tous les atouts pour prendre le relais d’Ola Kamara dans un style similaire. L’effectif convient donc toujours au système Berhalter que l’on sait efficace.
Une inquiétude : Tout le foin autour du possible départ déménagement de l’équipe à Austin affectera aussi bien l’entraîneur que les joueurs, et les prestations de l’équipe s’en ressentiront.

9. Kansas City

Une raison d’y croire : La meilleure défense du championnat est toujours solide, peu importe qui joue, et l’entraîneur Peter Vermes n’y est pas pour rien. Cette équipe est aussi capable de répondre présent aux rendez-vous importants.
Une inquiétude : Tout le poids de la réussite reposera encore une fois sur la défense, qui devra confirmer d’un bout à l’autre de la saison, d’autant qu’on se demande qui va marquer les buts.

10. Chicago

Une raison d’y croire : Grâce aux arrivées de l’an dernier, l’équipe fait partie des meilleurs du championnat et malgré le départ d’Accam, elle a conservé les moyens de rester en haut de tableau.
Une inquiétude : Une campagne de transferts trop calme après une fin de saison 2017 au ralenti, des trentenaires qui portent l’équipe et beaucoup de responsabilités données à des jeunes inexpérimentés.

11. Orlando

Une raison d’y croire : Une campagne de transferts impressionnante avec l’arrivée du meilleur passeur des deux dernières saison (Kljestan), d’un des meilleurs ailiers du championnat (Meram), d’un meneur de jeu au statut de jeune joueur désigné (Colman), d’un excellent milieu défensif (Rosell), d’un titulaire en Bundesliga (Sané) sans oublier quelques bons jeunes.
Une inquiétude : Tout est entre les mains de l’entraîneur Kreis pour l’ouverture de l’ère post-Kaka et post-Larin ; si l’équipe s’est incontestablement améliorée, elle n’est pas encore à la hauteur de la concurrence.

12. LA Galaxy

Une raison d’y croire : Ola Kamara, que bien du monde voit finir meilleur buteur du championnat, dans une armada offensive également composée d’Alessandrini et Giovani Dos Santos.
Une inquiétude : Après une année désastreuse, on a assisté à une révolution de palais qui permettra à l’équipe de redevenir compétitive, mais c’est insuffisant pour viser plus haut.

13. Dallas

Une raison d’y croire : Un groupe très talentueux qui vaut bien mieux que son classement de 2017, et amélioré avec à la fois des retouches ciblées à l’interne et quelques renforts acquis à coups d’efforts financiers inédits pour le club.
Une inquiétude : L’équipe qui s’est complètement effondrée la saison dernière n’a recruté qu’un seul réel renfort, Ziegler ; Acosta est blessé pour le début de la saison et l’élimination par le Tauro FC en Ligue des champions témoigne du chemin à parcourir.

14. Vancouver

Une raison d’y croire : Depuis plusieurs années, cette équipe a toujours de meilleurs résultats que ce que prévoient les observateurs. Kei Kamara n’a rien à envier à Montero et les jeunes comme Davies ou Nerwinski ont pris de la bouteille.
Une inquiétude : Un style de jeu horrible. Les résultats largement supérieurs au niveau de l’équipe l’an dernier, ça ne se reproduira pas. En MLS, on ne peut pas s’inscrire dans la durée en étant incapable de marquer des buts en posant son jeu dans le camp adverse.

15. Houston

Une raison d’y croire : Davantage d’expérience, des attaquants titulaires qui font toujours aussi peur, un domicile quasi-imprenable et une défense qui ne peut que faire mieux en déplacement.
Une inquiétude : L’équipe a perdu plusieurs joueurs importants, dont son meilleur buteur, Torres, et son style basé sur la vitesse est devenu beaucoup trop prévisible.

16. Los Angeles

Une raison d’y croire : L’équipe est nouvelle, alors rares sont ceux qui la classent en ordre utile. Pourtant, elle regorge d’expérience et de talent dans toutes les lignes et sur le banc. L’exemple d’Atlanta devrait donner à réfléchir.
Une inquiétude : Plusieurs joueurs importants, notamment en défense, étaient en méforme la saison dernière, les points d’interrogation sont nombreux dans l’entrejeu, et derrière les quelques gros noms, l’effectif reste extrêmement léger.

17. San Jose

Une raison d’y croire : Le nouvel entraîneur Mikael Stahre va apporter un changement de style nécessaire par rapport à celui de ses prédécesseurs, qui rendra l’équipe meilleure.
Une inquiétude : Une équipe déséquilibrée, un entrejeu qui a du mal à couvrir la largeur du terrain, Wondolowski proche de sa date de péremption et une équipe dont les résultats honorables en 2017 étaient trompeurs.

18. Philadelphie

Une raison d’y croire : De gros investissements avec l’arrivée d’Accam, mais aussi le recrutement de Dockal, le meneur de jeu tant recherché.
Une inquiétude : Un secteur défensif jeune, inexpérimenté et inconstant qui risque de ne pas tenir le choc sur toute la saison.

19. DC United

Une raison d’y croire : Un entrejeu de qualité avec des joueurs qui ont fait leurs preuves en MLS ou à l’étranger tant dans l’axe que sur les ailes.
Une inquiétude : Le départ de Bill Hamid, gardien ô combien précieux depuis plusieurs années, et une première moitié de saison qui se passera essentiellement sur les terrains adverses.

20. Montréal

Une raison d’y croire : Rémi Garde, un entraîneur qui va amener de la constance et développer le talent des jeunes. Taïder, qui permet à l’entrejeu de rester compétitif. Et la capacité de Piatti à sortir à lui tout seul l’équipe du pétrin.
Une inquiétude : Un seul défenseur central pour commencer la saison, peu de créativité au milieu, pas de garanties à la pointe de l’attaque, un banc ultra léger : l’écart risque de se creuser avant la mi-saison.

21. New England

Une raison d’y croire : La deuxième partie de 2017 ne fut pas si mal… mais le nouvel entraîneur doit faire face à des départs et des dissensions… même les optimistes manquent d’arguments.
Une inquiétude : L’effectif ressemble beaucoup trop à celui de l’an dernier, qui n’a pas atteint la phase finale.

22. Minnesota

Une raison d’y croire : Le départ raté de l’an dernier a marqué les imaginations, mais la suite de la saison fut du calibre d’une équipe du milieu de tableau, et de nombreuses individualités dans cette équipe comme Ramirez, Molino ou Danladi peuvent lui permettre de confirmer sur une saison entière.
Une inquiétude : Des changements cet hiver, certes, mais insuffisants ne serait-ce que pour viser la ligne rouge.

23. Colorado

Une raison d’y croire : Même s’il va à contre-courant de celui des autres équipes, Colorado a un plan de jeu pour la première fois depuis longtemps et est conscient de ce qu’il fait sur le terrain. En revanche, bien du monde doute de son efficacité…
Une inquiétude : Dans une MLS à tendance sud-américaine, le nouveau style britannique va beaucoup peiner et Tim Howard n’est plus dans ses meilleures années.
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  6. MONTREAL47
  7. Vancouver37
  8. New York47
  9. Toronto47
10. Atlanta36
11. LA Galaxy46
12. St. Louis46
13. Nashville46
14. Kansas City46
15. DC United45
16. Colorado45
17. Chicago44
18. Salt Lake44
19. Charlotte44
20. Houston34
21. Los Angeles FC44
22. Philadelphia44
23. Dallas43
24. New York City43
25. Austin43
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