2013 : Retour sur la scène internationale
 Impact de Montréal
 
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Premier club canadien qualifié pour la Ligue des champions, en 2008, l’Impact attend cinq ans plus tard de retrouver la scène internationale. Tant le club que les supporters ont pris conscience que, malgré le petit nombre de prétendants, la qualification n’est pas simple et tout le monde aimerait goûter à nouveau aux joies que les noms d’OIimpia ou d’Altlante suffisent à évoquer.

En cinq ans, beaucoup de choses ont changé. Le championnat du Canada, alors à trois équipes, a cédé sa place à une coupe du Canada, avec quatre clubs et dominée sans partage par Toronto depuis sa création. Mais surtout, Montréal a fait son entrée en MLS dans un stade Saputo agrandi et, de ténor au deuxième échelon du soccer américano-canadien, est devenu une équipe « comme les autres » à l’étage supérieur. Après une saison 2012 satisfaisante pour une première à ce niveau, l’objectif en 2013 est clair : participer à la phase finale de la Coupe MLS. À un point tel qu’une clause dans le contrat du nouvel entraîneur Marco Schällibaum prévoit un renouvellement automatique de son bail en cas de qualification.

DÉCONFITURE ET RÉDEMPTION

Le début de saison en championnat ressemble à une lune de miel : quatre victoires consécutives, dont trois face à des ténors et une contre Toronto, adversaire en demi-finale de la Coupe du Canada. Après deux semaines moins réjouissantes, l’équipe se déplace le 24 avril à BMO Field pour le match aller de la seule compétition 100% canadienne impliquant les meilleurs clubs du pays. Et là, c’est le désenchantement total.

La plupart des cadres de l’équipe ont été laissés au repos. L’exemple qui illustre le mieux ces décisions est celui du gardien. Le réserviste Evan Bush est dans le but : c’était prévu, et il n’est jamais passé à travers d’un match quand il a reçu sa chance. Mais le titulaire habituel, Troy Perkins, n’est même pas sur le banc, où prend place le jeune Maxime Crépeau. Parmi les autres joueurs qu’on a laissés à Montréal, on peut citer, entre autres, Marco Di Vaio. Du côté de Toronto, ce n’était guère différent mais l’équipe locale s’en est mieux sortie, à l’issue d’un match piètre et confus, s’imposant 2-0.

Le résultat et surtout la manière provoquent stupeur voire colère chez les supporters. Il faut dire qu’avant la rencontre, le club avait insisté lourdement sur l’importance à ses yeux de remporter la compétition. Mais les actes différaient des paroles, ce qui a suscité de vives réactions, notamment des Ultras Montréal qui ne se sont pas fait prier pour déployer quelques banderoles assassines lors du match de championnat suivant.

Heureusement pour tout le monde, il n’y eut qu’une semaine entre l’aller et le retour, qui allait soit permettre de confirmer le sentiment désagréable, soit d’apaiser les tensions. La mauvaise humeur accumulée n’était néanmoins pas entrée dans le stade, où tout le monde était à fond derrière ses couleurs. Il faut dire qu’un match contre Toronto n’est jamais comme les autres pour les amateurs montréalais – dans tous les domaines, d’ailleurs. Les circonstances importent peu, leur volonté est toujours la même : renvoyer les Ontariens penauds dans leur tanière.

Et dès les compos, ils la sentaient bien, cette soirée. Plus d’équipe B sur le terrain cette fois, mais une équipe mixte compétitive comme le prouvaient la titularisation de Paponi et le fait que Di Vaio soit sur le banc. Il a d’ailleurs remplacé son compatriote blessé en fin de première mi-temps. Une grosse demi-heure qui avait déjà suffi pour remettre les deux équipes à égalité parfaite puisque Mapp, le grand bonhomme de la soirée, et Paponi avaient réussi à tromper Frei. Et à peine monté au jeu, Di Vaio avait même fait 3-0 avant le retour aux vestiaires que les bleu-blanc-noir regagnèrent sous les vivats de la foule.

Montréal était virtuellement qualifié, et ce ne fut plus jamais remis en cause. Au contraire, la suite allait permettre à ce match d’anthologie de rentrer dans l’histoire du club. Le scénario avait mis en place des circonstances idéales pour une équipe de Montréal sachant manier le contre face à une opposition peu inspirée qui butait sur un adversaire recroquevillé dont les éléments les plus avancés étaient à tout moment susceptibles de surgir tels des diables de leur boîte. Ainsi, Di Vaio, Romero et Wenger portaient les chiffres à 6-0 : jeu, set et match pour cette victoire la plus plantureuse de l’existence du club à égalité avec un succès sur le même score contre Worcester en 1997. Et tout ça contre l’ennemi juré, en plus ! Pour la première fois en trois ans de compétition, Montréal en atteignait la finale, ultime étape avant un retour en Ligue des champions.

UNE CHANCE SAISIE À PLEINES MAINS

À ce stade l’attendait Vancouver, lui aussi entré en MLS depuis les derniers exploits montréalais, et qui en demi-finale avait éliminé Edmonton, seul pensionnaire d’une division inférieure à prendre part à la compétition. Un match encore plus important aux yeux des pensionnaires de l’ouest du pays, qui n’ont jamais soulevé la fameuse Coupe des Voyageurs, prélude à un parcours sur la scène continentale. Une nouvelle fois, on y va avec un match aller et un match retour, mais cette fois on commence à Montréal, en raison de son moins bon classement la saison précédente en… MLS (eh oui, l’Association canadienne de soccer n’est pas capable de classer ses équipes en fonction de sa seule compétition…)

Ce premier duel est mièvre au possible, mais ce n’est pas faute de volonté de la part de l’Impact, cette fois. S’il n’y a pas la grande foule au stade Saputo, cela ne se remarque pas tant les supporters de toutes les tribunes jouent à merveille leur rôle de douzième homme. L’équipe alignée montre l’envie de gagner. En face, en revanche, l’entraîneur Martin Rennie privilégie l’option ultra-défensive et place un mur de béton devant le but de Knighton, rare visiteur à se montrer positivement à son avantage au cours de la soirée. Rajoutez un Impact qui ne choisit pas les bonnes options offensives devant un tel adversaire et la rencontre se conclut sur le seul score possible : 0-0. Tout se jouera donc à Vancouver, deux semaines plus tard.

À 90 minutes du bonheur, les deux formations jouent leur carte à fond. Mais durant les 45 premières, la défense de l’Impact passe complètement à côté de son sujet. On jouait à peine depuis 180 secondes que Camilo ouvrait la marque. Et s’il n’y avait qu’un but d’écart à la mi-temps, c’était en grande partie en raison du manque de réalisme des joueurs locaux. Si la manière était décourageante, les chiffres, eux, laissaient place à l’espoir, à condition de se reprendre. Et ce fut fait on ne peut plus rapidement, puisque Felipe égalisait peu après la reprise. 1-1 : à ce moment-là, Montréal était virtuellement qualifié en raison de la règle des buts à l’extérieur, et c’était à Vancouver de faire le jeu. Si Reo-Coker était dans tous les bons coups des siens, ceux-ci étaient très limités car la défense montréalaise n’avait plus oublié ses qualités au vestiaire. Cependant, les intentions offensives locales ont été récompensées quand le remplaçant Kobayashi a fait 2-1 à la 69e.

Un but qui, dans un premier temps, désarçonna une défense sauvée par le cadre de son but pour la deuxième fois du match. Les occasions ratées s’accumulaient de part et d’autre. Les regrets seraient vancouvérois. Montréal a enfin exploité la faiblesse de son adversaire, le jeu aérien, quand Camara a victorieusement repris un corner de Mapp. 2-2, un score qui ne changera plus malgré le baroud d’honneur d’un adversaire qui a buté sur une défense qui avait retrouvé ses meilleures sensations. Ce coup-là, ça y était : la qualification pour la Ligue des champions était en poche. Concacaf, nous revoilà !

BON TIRAGE, TRÈS BON DÉPART

Sur la scène continentale aussi, il y avait eu des changements depuis la dernière fois que Montréal y était monté. Exit le tour préliminaire par lequel devait passer le représentant canadien, les 24 équipes passant désormais toutes directement en phase de groupes. Des groupes désormais composés de trois équipes au lieu de quatre, avec à coup sûr soit un club mexicain, soit un club américain. Avant le tirage, les sentiments sont partagés : faut-il hériter d’un adversaire de MLS, a priori plus abordable, ou d’un gros morceau plus exotique ? Une fois les groupes formés (dans un chaos digne des pires caricatures de la Concacaf), tous les espoirs sont permis. Montréal a hérité des Américains de San José, qui ne sont même plus l’ombre de l’équipe qui a dominé la MLS la saison précédente, et des Guatémaltèques d’Heredia, dont on ne sait pas grand-chose. Certes, les clubs de ce pays sont moins redoutables que leurs homologues du Honduras ou du Costa Rica, mais c’est quand même l’un d’eux qui a été le premier à éliminer une équipe mexicaine depuis que la compétition a pris l’appellation Ligue des champions en 2008. Un avertissement que pas grand-monde au Québec n’a pris en considération.

Cette deuxième aventure en Ligue des champions commence le 7 août par la venue de San José au stade Saputo. Le match est important à plus d’un titre. Après un sublime départ en championnat, l’équipe a connu un ralentissement soudain et alterne satisfactions et déceptions, battant Kansas City, un ténor, avant de lamentablement s’effondrer chez la lanterne rouge DC United. La direction sportive sentant la nécessité de renforts avait embauché un nouveau joueur désigné : le médian défensif Hernan Bernardello, et ce duel contre les Californiens serait son baptême du feu. Ou plutôt sa première plongée dans le bain montréalais, puisque l’eau était à l’honneur, un véritable déluge s’abattant sur la ville durant la première mi-temps, ce qui n’empêchait pas des supporters très en voix d’assurer une ambiance du tonnerre.

L’arbitre, lui, semblait siffler dès qu’une goutte d’eau touchait le sol, et n’a pas arrêté de voir des fautes partout. Ce qui a quand même permis aux visiteurs d’hériter d’un penalty très tôt dans le match pour une main de Warner intentionnelle aux yeux de l’homme en noir. Gordon l’a tiré mollement, Bush a choisi le bon côté et le stade était en délire comme s’il y avait eu un but. Un but qui, d’ailleurs, ne tardera pas à tomber puisqu’au quart d’heure, un coup franc de Bernardello trouvait la tête de Camara, décidément souvent au bon endroit au bon moment dans les grands rendez-vous.

La suite fut agréable à regarder même si pauvre en occasions. L’Impact se fit peur en début de deuxième mi-temps, quand il laissa son adversaire prendre la direction des opérations, mais rééquilibra les échanges après l’heure de jeu, se montrant le plus dangereux et ne laissant guère de possibilités de but à San José qui n’aurait pas mérité de rentrer chez lui avec ne serait-ce qu’un point. La victoire 1-0 et les trois unités étaient évidemment le départ idéal avant le déplacement à Heredia deux semaines plus tard.

UN PARI RATÉ QUI GÂCHE TOUT

Le voyage au Guatemala était entouré d’une grande vague d’optimisme chez les supporters. Mais il y avait deux sortes d’optimistes : les sérieux et les arrogants. Les premiers pensaient que le cauchemar du voyage à Toronto était une expérience ratée qui ne se reproduirait plus, et que les bons résultats ayant mené l’équipe jusque-là seraient confirmés aussi bien dans les intentions que sur le terrain. Les seconds, eux, tablaient déjà sur un succès et envisageaient les différents cas de figure pour finir premier devant San José, reléguant l’adversaire du jour au rôle de piètre figurant. Il y avait aussi ceux qui s’offusquaient de voir Montréal prendre cette Ligue des champions au sérieux, dignes héritiers de ceux qui voulaient en 2008 que le club joue le titre en USL (si vous ne comprenez pas, lisez le texte sur la première épopée du club sur la scène de la Concacaf) – ils étaient confortés dans leur opinion par la clause de prolongation automatique dans le contrat de Marco Schällibaum.

On ne sait pas trop (ce) qui a influencé ce dernier, et on ne pense pas qu’il ait agi par arrogance, toujours est-il que ni Di Vaio, ni Nesta, ni Bernier, ni Mapp, ni Ferrari n’étaient dans l’avion en direction de l’Amérique centrale. Des pions importants qui ne joueraient donc pas mais qui ne pourraient pas non plus dépanner en cas de besoin. La leçon de Toronto était déjà oubliée. Pendant une dizaine de minutes, ça ne paraissait pas prêter à conséquence. Mais la suite s’est transformée en calvaire. Tout a commencé par un penalty, mais la chance était encore du côté de l’Impact puisque Cordoba a tiré sur la transversale. Grâce à quelques arrêts de Bush, le marquoir indiquait toujours 0-0 à la pause mais l’Impact rentrait au vestiaire à 10 puisque Lopez, autre renfort de mi-saison, qui effectuait ce jour-là ses débuts en match officiel, avait été exclu pour une faute sur Cordoba.

Après la pause, la défense visiteuse en a vu de toutes les couleurs, notamment le jeune Tissot car Heredia passait principalement par son côté. Il fallut attendre l’heure de jeu pour voir la deuxième occasion montréalaise du match, signée Paponi, complètement isolé devant. Smith a ensuite tiré sur le poteau, on croyait que le vent était en train de tourner. En fait, l’équipe locale était à la recherche de son second souffle et a repris sa domination dans le dernier quart d’heure. L’Impact reculait et reculait encore, les occasions se multipliaient et à deux minutes du terme, Cordoba offrait aux siens une victoire qu’ils n’avaient pas volée.

Conséquence de cette défaite : les bénéfices de la victoire contre San José étaient relégués au rayon gaspillage. Les dirigeants du club reconnaissaient après coup avoir parié (comme à Toronto…) Un pari à nouveau perdu. Et la trame prit une allure encore plus extravagante après la journée suivante, lors de laquelle Montréal était exempt, puisqu’Heredia y a battu San José 1-0, s’emparant seul de la tête du groupe. Et après ce match, on pouvait encore lire certains Montréalais très peu humbles échafauder des scénarios où le leader du groupe à la mi-compétition n’aurait aucune chance d’en terminer premier.

Le duel suivant voyait Montréal se déplacer à San José le 17 septembre. C’était celui de la dernière chance pour les Californiens, obligés de gagner pour ne pas être éliminés. Il était d’autant plus intéressant que les deux équipes avaient une contre-performance à se faire pardonner. En quelques semaines, la donne avait aussi pas mal changé. Depuis leur déconfiture au Guatemala, les Montréalais avaient gagné deux de leurs trois rencontres de championnat : 5-0 contre Houston et 2-4 à New England, ce qui avait restauré un climat de confiance. On ne le savait pas encore à ce moment-là, mais c’était davantage un concours de circonstances qui nous avait fait voir deux très beaux arbres cachant la forêt déboisée que représenterait la fin de la saison. San José, pour sa part, était dans les prémices d’une belle remontée en championnat, insuffisante pour atteindre la phase finale mais qui le verrait tout gagner jusqu’à la fin de la saison à l’exception d’un partage au LA Galaxy. Évidemment, ça non plus, on ne le savait pas le jour du match.

Mais sur le terrain, ce qu’on a vu, ce n’était pas l’état présent des deux équipes mais bien les tendances des semaines à venir. Et cette fois, pas d’équipe B à invoquer puisque les deux entraîneurs n’avaient laissé que l’un ou l’autre titulaire habituel au repos. La défense de l’Impact, qui donnait quelques signes d’inquiétudes depuis un moment, était encore plus friable que d’ordinaire et ses attaquants, en l’absence de Di Vaio, multipliaient les ratés. Une rentrée en touche mal négociée avait permis à San José d’ouvrir la marque après 20 minutes, une autre à Chavez de doublier l’avance des siens peu avant l’heure de jeu. La messe était dite et Salinas a fixé les chiffres à 3-0 en fin de partie.

San José était relancé et l’Impact virtuellement éliminé. Il ne pouvait désormais terminer premier qu’en cas de… triple égalité, auquel cas la différence de buts départagerait tout le monde. Le seul scénario positif devenait hautement improbable : massacrer Heredia au stade Saputo et voir San José battre ensuite les Guatémaltèques avec un écart de cinq buts de moins. Même Walt Disney n’oserait pas !

BAROUD D’HONNEUR

Une semaine après la défaite en Californie, tout le monde voulait quand même croire au miracle. Il y avait une ambiance des grands soirs au stade et, poussé par un public en furie, les joueurs sont entrés dans le match comme des lions. On jouait depuis à peine plus de trois minutes que Paponi faisait déjà 1-0. Et si… ? La tempête a duré un quart d’heure, puis les visiteurs ont pris du mieux mais pouvaient quand même s’estimer heureux d’atteindre la mi-temps en n’ayant encaissé qu’un seul but. Quand Wenger doubla l’écart en début de deuxième mi-temps, pas grand-monde dans le stade ne trouvait utopique de voir les filets adverses trembler à quatre autres reprises avant le coup de sifflet final.

Enfoncés, les visiteurs jouaient crânement leur chance lorsqu’ils se créaient des occasions, mais c’est de l’autre côté qu’il y avait le plus de danger et de contestations de décisions arbitrales souvent douteuses. Un poteau, un but annulé, des penaltys demandés (de part et d’autre) : on en a vu de toutes sortes avant le dernier quart d’heure, sauf le but tant attendu. Les lions ont alors rugi bien moins fort et Heredia a tenté, vainement, de recoller au score pour ramener le point synonyme de qualification. La fin de match prenait des allures de ping-pong et le spectacle se poursuivait.

Même s’il n’y eut pas d’exploit, les sourires étaient nombreux à l’issue des débats. Les spectateurs s’étaient bien amusés dans un stade où régnait l’ambiance si agréablement particulière de la Ligue des champions et des matches à enjeu. Plusieurs joueurs moins souvent utilisés en championnat avaient profité du fait d’être bien entourés plutôt que laissés à eux-mêmes pour montrer leur meilleur visage et gagner en confiance. L’esprit sportif avait aussi prévalu, puisque Montréal avait joué le jeu jusqu’au bout. À ses adversaires d’en découdre lors du dernier match pour garantir leur sort (San José se qualifiera).

Cependant, à tête reposée, il convient de reconnaître que cet ultime rendez-vous en Californie aurait dû n’être qu’anecdotique. Un et un seul meilleur résultat montréalais aurait rendu cela possible, c’eût été de ne pas perdre à Heredia. Dans ce cas uniquement, la qualification aurait déjà été en poche au soir du dernier match de Ligue des champions au stade Saputo en 2013, qui a marqué aussi la fin de parcours de la deuxième participation du club à cette compétition. Espérons qu’il ne faudra cette fois pas attendre cinq ans avant d’y prendre part à nouveau et qu’une fois qualifié, les leçons de cette campagne, dont il ne faut néanmoins pas occulter les bons moments, seront retenues afin que tout soit mis en œuvre pour que le nom de l’Impact de Montréal brille à nouveau de mille feux sur la scène internationale.

 

 
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